Print Forum - Thomas Dufour

15/03/2016

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Imprimerie au service des PME/ETI. Sa vaste palette de compétences permet à nos clients d'y entrer avec ses idées et d'en sortir avec le produit fini. 30 personnes, créée il y a 42 ans, 3.M € de CA, 400 tonnes de papier par an. Grace à nos investissements réguliers nous utilisons les dernières technologies.

Membre du club depuis l'origine, sept 2014. J'ai l'habitude de dire que la confiance est le ciment des affaires et la communication en est le sang. La confiance permet de construire sur du solide, la communication permet de nourrir, d'alimenter les affaires.

Pour que cette communication passe bien il lui faut un réseau solide donc confiant.

Plus le réseau est de qualité, plus il est fluide alors meilleur il est.

Dans un réseau il faut y trouver confiance et communication. L'un ne va pas sans l'autre.

Le FBC ne se cache pas. Il prône de faire des affaires. Sa composition de 2/3 d'industriels et 1/3 de prestataires de services est un bon équilibre. De même son effectif total doit être maintenu à ce niveau, ni trop ni trop peu. Le rythme mensuel suffit, libre à chacun d'alimenter le réseau quand il le veut.

Mon objectif est d'augmenter la taille de mon propre réseau

De faire des affaires (en 2015 : 12.000 € de ventes et 7.000 € d'achats)

De m'alimenter auprès des conférenciers (les « non-politiques » ont été passionnants, les politiques ont été politiques)

J'ai été marqué par Didier Leroy. Son apparence est transparente, indifférente, il ressemble à monsieur tout-le-monde. Son énergie, son propos sont tout autre. Au-delà de sa propre performance personnelle qui est remarquable, quel entraineur ! Qui n'aurait pas envie de bosser avec lui ? Lorsqu'il a aligné sur sa diapo les nécessités du management, la première ligne « soyez un exemple » et la dernière « donnez envie » sont l'alpha et l'oméga du management.

Une autre des mes habitudes est de dire qu'un lieutenant dans les tranchées en 14 ne pouvait donner que 2 ordres : « allez-y » ou « suivez-moi », le premier perd la guerre, le second la gagne. C'est pareil pour tous, patrons, leaders, meneurs, entraineurs, parents, ...

Le choix du FBC s'est d'abord fait par amitié, puis par intérêt.

Concernant la phrase « il faut donner pour recevoir » je n'y adhère pas face à un club dans le monde des affaires. C'est d'une culture judéo-chrétienne qui exclut le but lucratif.

Je préfère développer confiance et communication et dans ce bain de culture faire des affaires à but lucratif (pour tous, acheteur et vendeur)

Thomas Dufour

President

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